Lettre ouverte.

05|2011. Mardi 17, 2:13

Ce sera bref parce qu'il est 1h du matin. Ca me bouffe et si je ne l'écris pas, ça me bouffera encore plus. Et je ne suis pas une partisante de l'insomnie.

J'en ai vraiment marre de vous. Car vous êtes deux à me faire chier. L'un plus que l'autre par manque de contact. Et on peut dire que lui, au moins, je l'ai perdu depuis plus longtemps que toi.

Je suis franche, tellement que ça peut paraitre brut. Je l'ai toujours été. Et je refuse catégoriquement de me sentir fautive pour n'avoir suivi que ce que je suis. Ou du moins, pour avoir fini par manquer de patience.
Je ne sais pas pourquoi tu joues les fantômes avec moi. Je croyais très franchement que j'étais plus que ça vis à vis de toi. Tu m'as donné toutes les raisons de le croire du moins. Mais que les choses soient claires, je ne suis pas en colère ou quoi que ce soit d'autre. Je te laisse simplement te murer dans ton silence. Ma porte est toujours ouverte et j'ai beau faire genre que ça ne m'atteint pas, eh bah si, ça me fait chier, parce que je n'ai pas l'habitude d'être en conflit avec quelqu'un, si on peut appeler ça un conflit. Je l'ai dit et je le redis encore ici, si tu attends que je fasse un geste, tu attendras longtemps parce que je ne bougerai pas. Je n'ai pas à le faire. Mais j'attends. J'attends la porte grande ouverte et je ne te mangerai pas si tu décides de la franchir. J'en ai juste marre de me sentir comme une paria ou comme celle qui a ouvert une blessure supplémentaire.  Tu me donnes tort à cause de ce que j'ai dit ? Tu disparais pendant 2 semaines, supprime ton ancien blog pour en écrire un nouveau toujours ici (et je suppose que le nom de ce blog n'était pas fait pour passer inaperçu) et je n'ai pas droit à un signe de vie ? Sympa... Et c'est pas comme si je t'avais déjà dit que je ne m'inquiétais pas. Tout le contraire. Mais bref, apparemment ça ne compte pas.
Tu es jeune. Plus que moi. J'ai eu le même type de période. On est tous différent, réagi tous de manière différente aux évènements. J'accepte de ne pas comprendre. J'accepte tout à fait que tu prennes tes distances. C'est ton droit légitime. Je tenais juste à mettre les points sur les i et espère sincèrement que tu liras ces mots, qu'ils servent à autre chose qu'à pouvoir éviter une insomnie.
Bon courage pour le 16 du mois prochain.

Quant à toi. J'ai déjà écrit plusieurs fois à ton sujet ici. Toujours la même déception de ta part. Heureusement qu'on est plus aussi proche que depuis les deux dernières années et même l'an et demi car tu étais définitivement perdu avant même la fin de la seconde année. T'es énervant, parce qu'avec toi c'est toujours pareil. On est obligé de "replonger" à cause de ce trait de caractère bien à toi. De la sociabilité mélangée à ta personnalité.
On était pas spécialement proche. Dans le sens où j'en étais pas jusqu'à te raconter mes histoires de linges sales familiales. Mais j'aimais quand on parlait de tout et de rien. Parce que j'avais cette impression devenue bien éphémère que tu pouvais me percer à jour et que même quand je te disais que tout allait bien, tu rentrais dans mon jeu parce que nos discussions n'étaient pas basées sur nos vies et nos ennuis disons existentiels.
Si tu savais comme je t'en veux. Je t'en veux d'être devenu ce que tu es, de gâcher la belle vie que t'aurais pu largement avoir, largement t'offrir, d'enrôler dans tes jeux ceux qui n'en étaient pas. Et spécialement lui. Maintenant j'ai plus l'impression d'avoir perdu un mais deux des mecs à qui j'aurais pu décerner la place du meilleur ami. Alors vous êtes vraiment insupportables parce que vous revenez toujours comme des fleurs, comme si on s'était vu hier en rajoutant des câlins "parce que ça fait longtemps qu'on s'est pas vu". C'est juste un cercle vicieux dans lequel je ne peux pas vous sortir. Autant l'un que l'autre. Et vous n'imaginez pas ce qu'est le sentiment de se sentir impuissante en attendant le pire. Si au moins vous étiez comme lui... Mais vous n'avez pas l'âge et encore moins les valeurs.


Alors y'a des nuits comme ça, où j'en ai marre de me préoccuper de vous tous. Parce que grâce à x raisons, c'est jamais le bordel comme ça dans ma tête. Et en plus, à la seconde où j'écris, c'est vous qui êtes responsable de ce bordel. Au lieu d'avoir un stress merdique pour mon bac et mon avenir, à maintenant 2h du matin je m'occupe de vous ?

Ouais, pensez que je rejette la faute,
ça vaudra mieux.

Avez vous déjà..

11|2010. Mardi 2, 1:46

Rêver.

De votre avenir.
                     Digne d'une série télévisée. Toutes vos démarches seraient couronnées de succès. Grand boss d'entreprise, vous dirigez des hommes et des femmes en tout responsabilité, humilité.

D'habiter dans un appartement typé new-yorkais.
                                                                           Porte située rue perdue d'un quartier, style entrepôt qui donne une vue magnifique sur la ville.

De fuir. Au moindre drame. A la première erreur.
                                                                                Rencontrer un "Adam" digne de l'épisode 9 de la série Skins.                                                             

D'écrire. Pour soi. Pour tous.
                                            Qu'un inconnu se reconnaisse quelque part dans vos écrits. Même dans un mot. Le plus infime.

De grandir. Devenir adulte sans passer par les étapes obligatoires.
                                                                                                 Avoir tout, tout de suite. Ses clés d'appartement en main. Son job rêvé.
                                                                                        Acquis tout le savoir nécessaire pour y exceller.

De philosopher. Comprendre le comportement d'autrui dans ses expressions, ses sentiments.
                                                                            Et ainsi, déterminer. Tout. Jusqu'à savoir, même réaliser que malgré tout, le monde ne changera pas juste parce que vous le voulez. Peu importe où vous irez, il y aura un autrui qui ne correspondra pas à vos critères de jugement.

Y'en a toujours un pour dire qu'il ne tient qu'à nous de changer les choses. Ce "un" qui te dit "qu'est ce que tu attends ?". Ce un en question a oublié le léger détail qui est que le monde est pourri. Que pour le changer, il faudrait que tout le monde ait ta mentalité.
Bug dans la machine. C'est impossible.

Tu vis. Tu grandis. Tu es éduqué pour intégrer la société. Tu travailles pour un toit au dessus de ta tête pour tes vieux jours. Tu meurs.
                                                                        En étant satisfait. En ayant rater ta vie. En léguant ton dur labeur à tes gosses. Ou pas.
Tu es croyant ou idéaliste.
                       Tu seras juger pour l'épreuve de ta vie sur Terre. Pour savoir si tu es digne du Paradis ou de l'Enfer.
Ou tu la joues Werber dans L'empire Des Anges. Tu gardes l'idée du jugement. Mais tu imagines une autre issue. Plus entrainante, intéressante, excitante.
Tu t'imagines ange gardien manipulant les autres en gros. Et si.
Et si c'était comme ça en fait ?
~

Avez vous déjà.. été remercié juste pour ce que vous êtes ?
Moi si.
En toute humilité, je te dis merci. Moi non plus, je n'oublierai pas.

Histoire de.

09|2010. Samedi 11, 0:26

Je me suis toujours demander pourquoi une utopie était impossible ou encore pourquoi tous les pays du monde ne pouvaient être égaux.
Longtemps après, j'ai trouvé la réponse. Et c'est Jimi Hendrix qui me l'a donné.


http://stina-s-place.cowblog.fr/images/ThusSpakeJimibywarrenwol.jpg
"Quand le pouvoir de l'amour surpassera l'amour du pouvoir,
le monde connaîtra la paix.
"
~
Jimi Hendrix.

Meilleur guitariste de tous les temps, faut bien le dire.

Pix' DevianArt.

Furieuse envie de poster un truc ce soir. Alors voilà.
Ptete influencée par
HexandTheCity x)

<< En avant | 1 | 2 | En arrière >>

Stina-s-Place

Créer un podcast