"On ne sauve pas les gens contre eux-mêmes, on les aime à en crever et c'est tout.
"
"
Pour être franche, je ne crois pas t'aimer à en crever.
Mais suffisamment pour que ton état m'inquiète et me désole. Chaque fois un peu plus.
J'ai cru profiter de cette soirée pour te dire tout ce que j'avais à dire. J'avais prémédité le coup. Pour que ça passe inaperçu. Cependant tu n'es pas dupe, ça je le sais. Mais te parler de ça, c'est comme parler à un mur. De notre conversation, j'avoue ne me rappeler que d'une chose. De tes mots, lorsque tu as dit quelque chose comme:
"J'ai réalisé que j'étais dépendant".
Je continue de croire que tu as la volonté, comme il y a quelques semaines, de te reprendre en main. De ne plus être en état de chute libre. Cela peut être dû beaucoup de choses. Entre nous, je ne connais qu'un dixième de ta vie. Et quand bien même j'aurai connaissance de toute ton existence, peut être que je ne saurai pas le gérer. Tu me désoles parce que je sais ce dont tu es capable. J'ai beau te balancer tes rêves à la gueule, tu les as toujours en tête et me dis qu'ils sont toujours réalisables. J'ai envie de croire que oui, malgré toute ma réticence.
Pff. Après tout, je n'ai jamais réussi à te cerner. Je n'en ai pas marre d'essayer, mais c'est quand même frustrant de voir que je n'aboutis à rien.
Mais suffisamment pour que ton état m'inquiète et me désole. Chaque fois un peu plus.
J'ai cru profiter de cette soirée pour te dire tout ce que j'avais à dire. J'avais prémédité le coup. Pour que ça passe inaperçu. Cependant tu n'es pas dupe, ça je le sais. Mais te parler de ça, c'est comme parler à un mur. De notre conversation, j'avoue ne me rappeler que d'une chose. De tes mots, lorsque tu as dit quelque chose comme:
"J'ai réalisé que j'étais dépendant".
Je continue de croire que tu as la volonté, comme il y a quelques semaines, de te reprendre en main. De ne plus être en état de chute libre. Cela peut être dû beaucoup de choses. Entre nous, je ne connais qu'un dixième de ta vie. Et quand bien même j'aurai connaissance de toute ton existence, peut être que je ne saurai pas le gérer. Tu me désoles parce que je sais ce dont tu es capable. J'ai beau te balancer tes rêves à la gueule, tu les as toujours en tête et me dis qu'ils sont toujours réalisables. J'ai envie de croire que oui, malgré toute ma réticence.
Pff. Après tout, je n'ai jamais réussi à te cerner. Je n'en ai pas marre d'essayer, mais c'est quand même frustrant de voir que je n'aboutis à rien.